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Colette, l’incorrigible… besoin d’écrire (*)

Pièce sur des textes de Colette

Adaptation, mise en espace, interprétation :
Nathalie Prokhoris
avec la collaboration de

Christine Culerier, direction d’actrice
Merci à Marie-Paule Ramo, qui avait revisité la mise en scène

Une évocation intimiste de Colette.

Dans “l’antre” de l’écrivain, à cette heure solitaire – l’aube qu’elle aimait tant –, parmi le désordre des papiers écrits, jetés, repris, une femme se confie, s’émeut, se révolte, s’abandonne à la magie du “passé” qui la conduit vers la source intarissable de son enfance où elle plonge sa plume d’écrivain.

Peu à peu, au fil des mots malaxés, questionnés, combattus avec un acharnement gourmand, au détour de ses souvenirs dont le fil rouge est la naissance d’une vocation à écrire, se détache la figure de son père, l’énigmatique et secret Capitaine Jules Colette.

Les textes ayant servi au montage de la pièce, pour en tisser la trame, ont été puisés dans les écrits connus de Colette, notamment La Maison de Claudine, Sido, L’Entrave, mais également parmi les écrits moins connus, comme Paysages et portraits, Le Képi, Journal à rebours, etc.

 

(*) ce titre remplace le précédent : J’ai été mordue par une presse à gaufrer

Entre le réel et l’imaginé, il y a toujours la place du mot.

Colette